1.1.17

PENSEES POUR TEMPS EXTRÊMES


OUVERTURE MÉTAHISTORIQUE

Mondes traditionnels/ Modernité/ Transmodernité


Nous en sommes encore dans la préhistoire de l'humanité.


L'humanité émerge d'un immense cauchemar, tout son passé, et va vers une apocalypse inimaginable, son imprévisible avenir. Nous sommes au milieu du chemin, entre la nuit originelle et l'inconnu.


MODERNITÉ


Les temps modernes fuient en avant à toute vitesse. Vers quoi? Vers le cancer généralisé du monde,vers le Néant. Nécessité d'une nouvelle rupture radicale du temps, trans-moderne: mise en cause de toutes les démesures modernes et réinvention d'un nouveau rapport inspiré à la vie.


 Orgueil de l'Ego moderne en dépit des fameuses grandes blessures narcissiques (Copernic, Darwin, Freud) infligées à l'être humain par la science. Jamais l'homme ne s'est lancé dans des entreprises techno-scientifiques et politiques aussi démesurées, exerçant sa toute-puissance sans réserve.

 La société moderne est celle de la consumation, celle de la destruction irréversible des ressources naturelles et humaines, non celle de la production/consommation harmonieuse, de la relation de respect et d'amour entre les créatures et entre les créatures et la Création.

L’humanité moderne s’incarcère dans les frontières de la finitude qu’elle cherche à étendre spatialement et temporellement sans vraiment en sortir.

« LA SCIENCE NE FAIT QU’AGRANDIR NOTRE CAGE, ELLE NE L‘OUVRE PAS. » (CHARLES DE FOUCAULD )

Révolution cosmologique et théologie.
 
 La plus grande révolution, celle de Jésus, s'est initiée sans que le monde le remarquât. Révolution invisible qui peu à peu bouleversera entièrement l'Histoire humaine. Et ce n'est de loin pas fini.

La Révolution française est une laïcisation  des idéaux de liberté, d'égalité et de fraternité du christianisme.Elle fait descendre dans le monde les fondamentaux de la Pensée judéo-chrétienne.

Les traces de christianisme apparaissent partout dans le monde moderne, véritable héritier de la subversion évangélique.


Les Maîtres du soupçon. Marx/ Nietzsche/ Freud.


L'émergence des totalitarismes au XX°siècle n'a pas encore été assez interrogée.
Comment cela a-t-il été possible, cette inversion de l'ère des Lumières?

Siècle des guerres mondiales.

XXI°s.   
Après le XX°s., le temps des pires horreurs, n'avons-nous rien appris? Hélas! non. C'est toujours l'éternel retour des vieux démons: nationalismes, islamismes, antisémitismes, islamophobies, xénophobies, terrorismes,.. Sommes-nous les récidivistes aveugles des ténèbres?


XXI° siècle: temps histrionique, tragi-comique après le XX°siècle, siècle-apocalypse, temps des grands délires tragiques. L'Histoire semble se répéter aujourd'hui, mais comme le pensait Marx la seconde fois c'est sous forme de farce.


ANATOMIE DE LA GUERRE ET DE LA PAIX


L’anatomie de la guerre et de la paix aborde toute la gamme des conflits humains, conflits entre nations, entre classes, entre races, entre religions, entre sexes…

La guerre et la paix constituent la problématique la plus grave, la plus sérieuse du vivre-ensemble des hommes. Problématique exigeant une anatomie complexe, un travail de pensée sans fin comparable à celui qui tente d’éclairer les autres grandes déraisons humaines, la folie, le crime, l’érotisme, la mystique…


Tout système du monde, édifié par l’Ego humain et son savoir du Bien et du Mal, instaure forcément le règne du dia-bolique, la guerre des contraires. Guerre des sexes, guerre des générations, guerre des classes, guerre des races, guerre des religions, guerre des nations, guerres à l’infini dans l’empire de l’engeance humaine, inhumaine…


 S’il y a peut-être des guerres justifiées, il n’y en a pas de propre.


N’est sans doute justifiée que la guerre contre la guerre, la guerre de résistance, la guerre contre l’oppression. Cependant pour ce type d’action armée aussi les fins ne doivent pas autoriser tous les moyens.

Distinguer guerre et résistance armée, guerre contre la guerre.

Résistance à tout Système du monde voulant mener sa guerre de domination, établir son règne. Résistance à toute entreprise totalitaire, quelle que soit sa nature.

  
Les guerres sont pour la plupart des crimes de masse perpétrés au nom de la Toute-Puissance humaine.
La Toute- Puissance humaine se cache sous divers noms : Dieu, Nation, Patrie, Royaume, Peuple, Race élue, Classe élue...


Les guerres de religion ne sont pas des guerres au nom de Dieu, mais au nom du faux Dieu de la puissance et de la domination.

 
 La vraie guerre sainte est la guerre sans fin ici et maintenant entre la puissance et la vie, entre la destruction et la vie,entre la mort et la vie, entre les discours haineux, hégémoniques et la parole de vie qui brûle au cœur de chaque homme, de chaque femme, de chaque enfant.



Le plus stupéfiant est l’obéissance aveugle des masses aux injonctions guerrières. La guerre est une folie collective qui emporte dirigeants et collectivités dans le même séisme insensé, mêlant les motivations les plus diverses.
 
 La guerre comme exemple patent du profond masochisme humain. Pour aucune autre entreprise les hommes acceptent en masse de tant souffrir, de supporter l’invivable, de sacrifier leur vie que pour les actions meurtrières et dévastatrices des guerres.
 
Logique sacrificielle des nations.

La guerre est la criminalité autorisée et même glorifiée par la collectivité.

Toute guerre est criminelle, hors la légitime défense.

Apostasier la religion de la guerre.

La guerre: cette folie collective dont on peut parfois comprendre les causes, mais dont les conséquences frisent le plus souvent le délire, l’apocalypse insensée, invalidant après coup quasi toute entreprise guerrière.

La guerre : chose de l’homo demens, affaire de la démentielle hubris humaine, de la bêtise du « Gros Animal » (désignation platonicienne de la Cité humaine).

 Progrès dans la violence au cours du temps. Croissance de la barbarie. L’homme reste sans doute également méchant à travers les âges. Mais il ne cesse de perfectionner et d’accroître les instruments qui lui permettent d’exercer sa malveillance et sa cruauté.

A la guerre des corps qui déchiquette de vraies chairs vivantes se superpose toujours la guerre des esprits faite en grande partie de mensonges.

Le premier mort de la guerre est l’esprit de vérité.

 
Une bonne part des soldats de toutes les guerres sont sans doute des « malgré-nous », bétail mené à l’abattoir par les Puissants.
Et la plupart des « héros » morts pour la Patrie inscrits sur les monuments publics ont été sacrifiés malgré eux à l’Idole patriotique.
 
Guerre, folie surtout masculine, folie de la toute-puissance mortifère: les hommes ne possédant pas la douce puissance féminine de donner la vie s’approprient sans mesure la puissance de donner la mort.


Dans la guerre des sexes, l’armistice se conclut au lit.


Les deux grandes idoles des XX°-XXl° siècles : la guerre et le sexe, Thanatos et Éros. Jamais ne se sont déployées au grand jour avec une force et une crudité semblables les pulsions meurtrières et les pulsions érotiques.


Notre guerre intime n’oppose pas le corps et l’esprit, mais l’esprit et l’esprit. Le corps est le champ de bataille.


Toute guerre est fratricide.

Toute guerre est suicidaire, autogénocidaire.


 L’humanité : espèce homicide, suicidaire : des êtres mortels, des êtres voués à la mort, ô paradoxe ! se donnent la mort au lieu de se donner la vie.

Dans le monde mondialisé, s’unifiant, toute guerre peut être considérée désormais comme une guerre civile de l’humanité.


Nous pleurons abondamment sur les tragédies du passé et nous restons souvent scandaleusement indifférents à celles qui se déroulent sous nos yeux.

Rappeler sans fin les horreurs du passé tout en ouvrant les yeux sur celles du présent. Ne pas séparer devoir de mémoire et devoir actuel de faire face au Mal toujours resurgissant.


 Même après Verdun, Auschwitz, Hiroshima, le Goulag, les Khmers rouges, le Rwanda, la Syrie, Daesh…, même après le pire, l’humanité ne comprend pas et continue son vieux jeu aveugle de mesquineries et de saloperies petites et grandes. Espèce incurable ?

Nous savons maintenant, non seulement que les civilisations sont mortelles, mais que toute civilisation, quelle qu’elle soit, peut être porteuse du meurtre absolu.

 XX°-XXI° siècles. Guerres mondiales, révolutions, totalitarismes, génocides, terrorisme...La Modernité est à la fois temps des lumières et temps des ténèbres extrêmes. Il reste à penser cette immense contradiction de l’époque contemporaine.

Avec les guerres mondiales, émerge la conception de la guerre totale, déploiement de la pure puissance devant laquelle il n’y a plus rien de sacré. C’est la manifestation la plus radicale du règne de l’Ego humain tout-puissant de la Modernité.


 La guerre totale (« totaler Krieg ») est une invention de l’ère moderne, tentative de mise au service de la pulsion de meurtre et de destruction de toutes les forces techniques et humaines de la société au nom d’une Idée totalitaire.


Évitement apparent de la guerre nucléaire totale durant la guerre froide. L’humanité semble craindre malgré tout sa propre autodestruction, ne cessant de frôler la catastrophe finale sans jamais y choir irrémédiablement.


 Impossibilité de la guerre totale, suicidaire pour l’humanité. Impossibilité du total pacifisme : on laisserait libre cours à la barbarie effrénée.


 Dans la guerre moderne caractérisée par sa totale technicisation, le facteur purement humain devient secondaire. Celui-ci reprend cependant un rôle prépondérant dans les conflits de la décolonisation qui sont la matrice grosso modo des formes d’action armée contemporaines, l’ère du terrorisme, des violences urbaines venant des exclus ou des activistes d’extrême-droite ou d’extrême-gauche, attaques diffuses bien qu' ubiquitaires contre l’ordre établi du monde actuel.


La guerre au XXI° siècle.
Déclin des grands conflits entre nations ?
Ère du terrorisme, des guérillas. Ère de la grande guérilla mondialisée, attaques multiformes des exclus contre les grands ordres établis nationaux, internationaux.



Délaisser les liturgies patriotiques, ces délires nationalistes qui précèdent et qui suivent les absurdes massacres des peuples.

Commémoration des guerres. On verse des flots de larmes, on psalmodie des lamentations sur des hécatombes et des décombres vers lesquels on s’est ébranlé souvent avec enthousiasme.

1914-1945. Comment les peuples ont-ils accepté globalement deux fois l’imposition des guerres les plus démentielles de l’Histoire ? Incompréhensible…Ou preuve du caractère moutonnier, légaliste des masses et de leur soumission à l’ordre-désordre collectif ? Complicité désastreuse des masses soumises et des dirigeants aveuglés par la toute-puissance.

Ne peut-on accuser de crime de guerre une bonne part des dirigeants politiques et militaires de quasi toutes les nations ? Ils ont sur la conscience des millions de morts inutiles, des gaspillages insensés de jeunes vies. Criminels de guerre, nombre de grands hommes admirés par les foules, statufiés sur nos places, célébrés dans nos panthéons…

Les deux guerres mondiales : une seule guerre en deux périodes. La seconde période radicalise la première tant au plan politique qu’au plan militaire et accentue la technicisation des entreprises guerrières avec son final nucléaire à Hiroshima-Nagasaki. L’homme n’est de plus en plus que l’opérateur des processus techniques de toutes sortes.

Ne pas se laisser envoûter par les hymnes chantant la gloire des batailles avec clairons et tambours, ni à l’inverse tomber dans le pacifisme facile. Évidemment il faut rendre hommage aux générations qu’on a saignées tout en proclamant sans ambiguïté l’absolue folie des guerres et l’horreur qui s’en suit.
  
 Le plus grand nombre aspire à la paix et cependant les masses se laissent entraîner dans la guerre qu’elles font parfois bon gré mal gré de la façon la plus barbare. Terrible comportement moutonnier.


 Les hommes sont unanimes à condamner la guerre et cependant n’ont de cesse d’en provoquer de nouvelles ou pour le moins de subir passivement comme un mal inévitable les conflits armés qui surgissent. Peu d’individus se lèvent pour faire ouvertement la guerre à la guerre.


 S’il faut souvent du courage pour faire la guerre, il faut encore plus de courage pour s’y opposer.


 On rend hommage aux morts pour la patrie et on oublie toujours de rendre hommage aux guerriers de la paix, rares artisans de la paix qui se sont battus courageusement pour empêcher les guerres. Les peuples préfèrent l'héroïsme de la mort à l'héroïsme pour la vie.


 L’inverse de l’homme de violence, du grand criminel n’est pas l’homme de moralité moyen, le conformiste, mais l’extrémiste de l’Amour. L’homme moyen suit les mouvements de masse, guerre ou paix, et ne devient jamais un guerrier de la paix.


 Le Christ : JE NE SUIS PAS VENU APPORTER LA PAIX, MAIS LA GUERRE. Guerre sainte entre le Verbe de Vie et les Visions du monde, l’Ordre-Désordre humain régi par les Egos humains individuels et collectifs.

 
Ce qu’il y a de vraiment grand, ce sont les êtres humains qui consentent à s’écouter et à faire la paix par-delà leurs différences. Rien ne dépasse en sublimité l’œuvre de paix, de réconciliation. Les plus glorieux faits de guerre sont dérisoires en comparaison.

Il n’y a pas de chemin pour les hommes hors de la réconciliation permanente. Ou c’est la guerre et la mort, ou c’est la paix et la vie. Ou bien ou bien valable pour toutes les cultures humaines, l’éthique de base que nulle humanité ne peut éluder.


La seule façon de vivre entre les êtres humains est le pardon perpétuel.
Le pardon perpétuelle ou la guerre perpétuelle.

Pardon est l’autre nom de la paix.


“Il n'y a que deux puissances au monde, l'épée et l'esprit : à la longue, l'épée est toujours vaincue par l'esprit. ”

NAPOLÉON BONAPARTE


La paix a sa source dans la reconnaissance mutuelle sans réserve des êtres humains comme semblablement humains à part entière, avec des droits semblables.

 Les êtres humains servent avec passion la puissance, l’argent, la domination, la guerre, le règne du Surmoi et du Moi humains. Ils suivent en masse Alexandre, César, Attila, Louis XIV, Napoléon, Hitler…
Leur enthousiasme est nettement moindre pour suivre les voies du renoncement, du pardon, de la paix, du partage…Les témoins de ces voies sont rejetés, calomniés, assassinés, crucifiés.


La paix est le plus souvent la guerre poursuivie par d’autres moyens.


 Faire la paix est une tâche infiniment plus difficile, infiniment plus complexe, infiniment plus délicate que de faire la guerre où il suffit de suivre la logique unilatérale de la puissance.


 Les grands problèmes de l’humanité, paix, respect du milieu naturel, politique, justice, éducation, psychanalyse…, constituent toujours des tâches « impossibles », des tâches ne suivant pas une logique simpliste, exigeant toujours de l’invention.

 
L’humanité n’a pas d’autre solution à la fin que de s’entendre sur toute la Terre, sa fragile patrie cosmique.


 C’est maintenant le choix entre le réalisme utopique, le règne de la vie, ou la destruction du monde humain, le règne de la mort.


Déclarons une guerre autre que ces guerres d’empires, de nations, de races, de classes, ces querelles de clochers.
Déclarons la plus grande guerre, la guerre des Vivants pour les Vivants, pour les astres, les plantes, les animaux, la guerre pour la beauté de la Création, la guerre de la Vie contre les forces de mort.


Le consumérisme contemporain est le règne du "dernier homme" nietzschéen, l'homme qui se contente de jouir de lui-même. Narcissisme absolu.

Critique du bourgeoisisme et de l'antibourgeoisisme (Rimbaud, Debord...) endroit et envers de l'homme moderne.

Notre époque tragique, étreinte par une crise profonde, pluridimensionnelle, a refoulé la pensée du tragique et banalisé toute chose, la vie, la mort, le bien, le mal...


TRANSMODERNITE

Le mot magique RÉVOLUTION ne semble plus fonctionner pour le 21° siècle.

Il faut des antirévolutions, des mises en cause des visées de la Modernité sans retomber dans la Pré-modernité, les archaïsmes anciens.

La Transmodernité exige un immense renoncement aux délires de l'Ego humain.


 Il y a une grande mue civilisationnelle en cours: sortie de la démesure moderne. Elle est encore invisible, mais elle métamorphosera peu à peu le monde humain, malgré d'immenses résistances.

La grande mutation historique est le passage du Régime moïque-surmoïque ancien et moderne (Ordre venant d'en haut) au Régime de la Parole venant du Dedans. 

Jeu fécondant entre les religions, entre les cultures, entre les races, entre les sexes. Sortir de la conception dogmatique, essentialiste, de l'être humain. Sortir des clivages. S'ouvre l'ère des transreligiosités, des métissages, des libres cheminements entre féminin et masculin...


PROBLÉMATIQUES  FRANÇAISES

La France, trop centrée sur sa capitale, n'a pas vraiment conscience, de sa diversité, de ses marges.


 Défense des cultures régionales.Une nation perd son âme si elle ne valorise pas toute la variété de son patrimoine culturel.France,grande malade de centralisme, reconnais enfin activement ta profonde vivante diversité,tes langues,tes traditions, tes gastronomies, tes paysages...


DESTIN DE L'EUROPE


 Ce qui est commun à tous les Européens,c'est leur culture.Les génies européens, tout en étant enracinés dans leurs patries,constituent un patrimoine universel dépassant les nations.Européens universels,Dante,Cervantès,Goethe,Homère, Hugo,Mozart,Platon,Rembrandt,Shakespeare,etc



 Il faut rappeler clairement et nettement que tout ce qui arrive aujourd'hui en Europe,en particulier le problème des migrants,est la conséquence de plus de cinq siècles de domination et d'exploitation européennes sur quasiment le monde entier. Le grand renversement de l'Histoire.

 
Le populisme est la voie de l'égoïsme collectif cherchant à prendre le dessus sur la voie de la société ouverte où tout être humain peut trouver sa place.
L'essence de l'Europe réside dans la seconde voie, la première étant une trahison de l'Idée européenne.



 Sommes-nous devant la fin lamentable de l'Europe ou devant son véritable accomplissement vers lequel tend toute son Histoire? Allons-nous achever la symphonie européenne ou in extremis la rater définitivement? Manquent la grande inspiration politique et des esprits qui l'osent.

LA QUESTION TECHNOSCIENTIFIQUE

 Le seul progrès qui compte est celui de la qualité humaine de la vie personnelle et interpersonnelle. C'est l'unique critère pour évaluer les soi-disant avancées de la politique, de l'économie, de la technoscience.

L'inéluctable modernisation du monde n'est vivable que si en même temps elle s'accompagne d'un constant retour aux racines de l'être humain, à son cœur intime.
 
Tête de Janus, l'homo sapiens-homo faber. La techno-science apporte d'indéniables progrès matériels tout en accroissant sans cesse les puissances de destruction.

 Conquérir la Lune,conquérir l'espace,grande affaire de la techno-science.Cependant la plus grande affaire humaine est de devenir vraiment humain avec tous les autres humains et toutes les autres créatures.C'est là le vrai "grand pas pour l'homme" à accomplir sur la planète Terre.

 A l'âge du totalitarisme digital, le visage humain et la relation concrète d'être humain à être humain restent l'essentiel.

 Dépourvue de la faculté créatrice, l'intelligence artificielle, robotique, est bête, l'intelligence étant caractérisée par son inventivité.


LA QUESTION ÉCONOMIQUE

Croissance, décroissance...:conception quantitative de l'économie.
Penser une économie de la qualité de vie.

 Aucune culture du passé n'a maltraité les animaux comme nous, les Modernes, les Éclairés, nous le faisons dans les abattoirs, les élevages industriels, les transports massifs inconfortables. La barbarie est grandement contemporaine et n'est pas l'apanage des temps obscurs


LA QUESTION ÉCOLOGIQUE

Être citoyen de la Création de Dieu, c'est notre seule patrie.


 Seule une inspiration transcendante peut sauver le monde du chaos où le mènent les Temps modernes et leurs idolâtries.Cette inspiration se manifeste maintenant par l'appel au respect de la Création et de toute forme de vie,appel interpelant à présent tous les humains de la Terre.
  

 Deux immenses épées de Damoclès sont suspendues au-dessus de la tête de l'humanité: la menace nucléaire et la menace écologique.

 Dénoncer les manquements des États à la politique écologique, c'est bien. Cependant ne pas oublier en même temps les devoirs de chacune, chacun concernant le souci de l'environnement. Nous sommes tous responsables du respect de la Création, à tous les niveaux de la société.
 
 Modernité : expansion sans borne de l’Ego individuel et/ou collectif. À présent nous sommes parvenus aux limites de cette démesure humaine. Nous sommes acculés à une conversion si nous voulons éviter la catastrophe.
 
 Concernant la question écologique,tout notre système de vie (technoscience/production/consommation/finance/politique...)est à mettre en cause sans exception,entraînant forcément une mise en cause du mode de vie de chacun.Sommes-nous prêts pour cette révolution d'un nouveau genre?

Adresse aux jeunes manifestant pour le climat: manifester, c'est très bien; mais êtes-vous prêts à changer radicalement de mode de vie pour sortir des démesures modernes, à renoncer au consumérisme, au confort facile, à la folie automobile, aux gaspillages énergétiques, alimentaires, etc...Ne suffisent ni les slogans des manifestations ni même les mesures politiques. Une révolution totale il faut.


C'est maintenant la guerre non-violente entre les jusqu'au boutistes de la Modernité et de ses démesures et les adhérants à la voie de la mesure en tout domaine. C'est maintenant la fin de l'hubris moderne ou la fin du monde


 Le monde moderne a choisi le matérialisme et l'hubris, donc le principe de destruction et de mort. L'autre voie: l'Esprit vivant et la mesure, donc le principe de création et de vie. C'est aujourd'hui mondialement le choix pour l'homme entre la Vie et la Mort.

Il ne s'agit pas seulement de sauver la planète, nouveau slogan du temps, mais de sauver l'humanité qui a vendu son âme aux démons modernes. Il s'agit de retrouver la vérité vivante de l'être humain corps et âme délivré de ses fantasmes de puissance et de possession.


"La guerre pour le climat" (Hulot) est maintenant l'affaire de tous les humains sans exception, quels que soient leur statut et leur origine. Pour la première fois toute l'humanité doit avoir  une visée commune.

Nous vivons des temps fatidiques et l'époque ne propose au plan politique quasi que des nains, des idiots ou des discoureurs pour affronter la guerre mondiale actuelle, "la guerre pour le climat" (Hulot), la guerre pour sauver la planète Terre, notre habitat.

Les politiques écologiques tentent de sauver par de vains compromis ce qui aujourd'hui exige une révolution absolue,sans commune mesure avec toute l'Histoire de l'Homme,l'être qui a toujours voulu AVOIR PLUS et non l'être qui veut ÊTRE PLUS.L'avenir sera qualité et non quantité.


Il n'y a qu'une solution à la grave crise écologique du monde: repenser de fond en comble notre mode de vie productiviste,consumériste,capitaliste;sortir de la course en avant aveugle de la modernité.Discours et mesures de compromis sont insuffisants.

 L'inéluctable apocalypse écologique qui menace de plus en plus le monde est étrangement un "cauchemar climatisé", mixture de fin du monde et de confort technologique avancé, sans effondrement de la voûte céleste. C'est ce qui fait la difficulté d'y croire.

LA QUESTION POLITIQUE

 L'être humain est un animal migrateur depuis ses origines et toute la Terre lui appartient. Toute frontière n'est-elle pas qu'une édification d'égoïsme?

Les religions et la politique.
La Bible et la politique. St Paul.

L'illusion politique.

 Monde politique: y règne un certain automatisme sans nuances, les partis d'opposition étant forcément négatifs, les partis au pouvoir forcément positifs. Or les sociétés humaines ne sont que nuances, jeux infiniment complexes d'aspects positifs et d'aspects négatifs.


 La tête de l’État, roi, président, sert en grande partie à être la cible des mécontentements et des mouvements d'opposition de la nation. Rare l'amour désintéressé du Prince.

Antipolitique. Résister aux Pouvoirs.
Ne pas confondre antipolitique et apolitisme.

"On nie Dieu au nom de la justice, mais l'idée de justice se comprend-elle sans l'idée de Dieu? "( CAMUS, L'homme révolté).

 1789: abolition des privilèges de l'Ancien Régime. Mais toujours se reconstitue la classe des privilégiés: bourgeoisie de l'ère industrielle, nomenklatura des régimes communistes, super-riches du capitalisme mondialisé...Éternel retour inéluctable?

Les nations visent la grandeur et oublient souvent leur tâche éthique essentielle: promouvoir l'unité vivante du genre humain à travers sa munificente diversité.


SITUATION SPIRITUELLE DE NOTRE TEMPS


 L'humanité prend conscience planétairement d'elle-même pour la première fois au bout de sa lente émergence multimillénaire. En même temps se pose aussi pour la première fois la question de sa survie. Singulière concomitance de ces deux événements capitaux de l'Histoire humaine.

 Toutes les civilisations anciennes et modernes ont aspiré à la toute-puissance. C'est cette aspiration qui mène finalement l'humanité à l'abîme. Comment concevoir le renoncement à cette aspiration cataclysmique, renoncement qui semble être notre seul salut?


 L'issue de la crise mondiale de l'humanité ne sera pas politique. Elle ne peut être que spirituelle.


PROFONDEURS HUMAINES

 Nombre de nos contemporains se noient dans le présent sursaturé, le trop-plein du temps. Seule voie de salut: faire halte, prendre de la distance et plonger régulièrement dans son silence intérieur.

 Notre monde a besoin d'une immense cure de silence. Une cure immensément immense.

 Monde sursaturé. Nous avons tué le silence, la vacance. Sans la vacance, sans le liquide amniotique du silence, il n'y a plus de nativité de la vie.


 L'Image prime aujourd'hui sur le Verbe, nous submerge et nous exile dans la superficialité, loin de la profondeur intérieure, pensante, imaginante, rêvante...



INTERHUMANITE

Tout le monde participe à qui mieux mieux au bavardage universel et quasi plus personne n'écoute.

 La vie publique est constamment dans l'hystérie, l'exagération, le spectacle. En même temps restent cachées les vraies misères et l'humble œuvre de vivre.

 Le pathos, l'hystérie, la soif de domination gouvernent la vie publique, déformant toute recherche d'entente, alors que l'esprit de vérité réside dans l'écoute de ce qui parle en nous et entre nous au cœur du silence.

 La liberté d'expression sert à défendre la liberté. Hélas!, elle laisse libre cours en flots fangeux au fanatisme, à la recherche du scandale et à la pire bêtise, expressions qui ne contribuent en rien au combat pour la liberté, bien au contraire.


Une fatalité terrible a pesé sur les femmes depuis toujours. La chape de plomb commence à se lever peu à peu depuis un siècle. C'est un des mouvements de civilisation essentiels de l'époque contemporaine par ailleurs si riche en mouvements de dévastation.


 Le grand oubli du mouvement féministe "Me too": penser la profonde humanité de la relation femme/homme par-delà toute idée de domination, le jeu vivant du féminin et du masculin qui constitue l'être humain.

 L’ÉLITE EST MULTIPLE. Cependant on survalorise aujourd'hui l'élite politique, technocratique, gestionnaire, branchée surtout sur le quantitatif; on tient peu compte de l'arc-en ciel des élites de la qualité, artisans, chercheurs, artistes, poètes, penseurs, témoins de spiritualités.


 Le mal nous écrasant, c'est la rage effrénée de l'Avoir, la démesure des richesses et du confort qui traverse une bonne part de la société. Jamais l'égoïsme humain n'a atteint de telles dimensions, menaçant l'équilibre du monde.

LA QUESTION ANTHROPOLOGIQUE

Le propre de l'Homme.
Homme/Animal.

Structure de l'être humain.

 Concernant les problèmes humains, on oublie aujourd'hui que l'essentiel réside dans l'animation intérieure de notre être, dans l'âme (anima). On réduit quasi tout aux aspects matériels, corporels de la vie. Retrouver l'âme que toutes les thérapies de notre temps semblent ignorer.

 Langue.

Tout dialecte est une langue dominée, refoulée. Il n'y a pas de dialecte. Tout parler est langue.

La France ignore superbement ses langues.

Toute langue qui meurt est un amoindrissement de l'humanité.



LA QUESTION MÉDIATIQUE

Caractère bifrons des réseaux sociaux: d'un côté la surveillance générale, l'exploitation anarchique, incontrôlée des données; de l'autre le nouvel instrument des mouvements démocratiques de base.

Les réseaux sociaux sont en grande partie le nouveau véhicule de la connerie humaine. Certes la Bêtise est de toutes les époques, mais elle est aujourd'hui multipliée à l'infini par les nouvelles techniques de communication.

LA QUESTION INTERCULTURELLE

Nous,les Occidentaux,nous sommes les champions pour déformer les sagesses d'autrefois et d'ailleurs en les banalisant et en les assimilant à notre vision du monde matérialiste,rationnel,mercantile. Défigurés, incompris le yoga, le zen, le sens de la nature africain, amérindien...



LA QUESTION SEXUELLE
Bataille Beauvoir Foucault Freud Genet Lacan Sade



LA QUESTION ESTHÉTIQUE
Les révolutions poétiques. Kristeva.
Poésie, la subversion impossible. Échec des avant-gardes.Rimbaud. Mallarmé. Surréalisme...

L'art, la critique d'art, le marché de l'art.

Obscène le marché de l'art. Obscène de spéculer avec l'angoisse, la souffrance, la folie des créateurs, le sang des poètes.

L'évaluation financière de l'art et son accaparement par les possédants sont des blasphèmes contre la Beauté.

 L'art séparé du Sacré a sombré dans l'inferno du Marché et de l'Argent et n'en sortira que par un rapport réinventé au Transcendant.


 Tout grand créateur, toute grande créatrice met en œuvre le jeu du masculin et du féminin. Toute grande œuvre intègre et transcende la polarité sexuelle. Critique du machisme de l'histoire culturelle, dominée par le principe masculin.


LA QUESTION ÉTHIQUE

 J'exècre le bourgeoisisme, la rage de posséder et de posséder toujours plus dans un monde précaire, impermanent, où avoir ne peut être la finalité de la vie.


LA QUESTION RELIGIEUSE

La plupart de nos contemporains sont indifférents à la question religieuse et non explicitement athées.

La question de Dieu s'est évanouie et croyance - incroyance avec elle.


 Le monde contemporain est occupé ou par l'explosive religion économico-politique mondialisée ou par le divertissement sans entrave des masses. Nous vivons le total oubli de la question essentielle: quel est le sens de l'existence humaine individuelle et collective?

 
"Le malheur de notre temps, c'est justement d'être devenu exclusivement le "temps", la temporalité qui, dans son impatience, ne veut rien entendre de l'éternité" (KIERKEGAARD).



Expériences spirituelles dans l'ère moderne. Athéisme et foi. Kierkegaard. Dostoïevski. Nietzsche. Bataille. Lubac. Sartre. Sollers.

La Pensée du Mal. Sade. Rimbaud. Nietzsche. Bataille.Genet.

Le sacré après la mort de Dieu. Bataille, Caillois, Ginsberg, Leiris, Nietzsche, Pasolini, Tarkovski.

 Chacun sa religion, chacun sa foi, chacun sa philosophie, chacun sa vérité... Relativisme qui est une forme de défense contre la vérité, la vérité demeurant dans les profondeurs de l'âme, vérité à vivre et non à conceptualiser.


Vogue de la méditation. N'y a-t-il pas une défiguration de l'ascèse spirituelle si on ne voit dans la méditation que les aspects quantitatifs, neurologiques, psychiques, les bénéfices pour l'Ego? Fausse redécouverte de l'âme? Ersatz spirituel pour monde sans Dieu, sans véritable foi en l'Esprit?

La religion et la pensée de l'inconscient.
Freud Jung Lacan Vasse Bellet Sibony Juranville


Approche du christianisme. L'essentiel échappe à nos contemporains religieux ou areligieux: la Croix et la Résurrection, l'abyssale profondeur du Christ.


La bonté seule sauvera le monde.

NIETZSCHE et le divin.
Prise de conscience  de la mort de Dieu chez Nietzsche et de ses conséquences, nettement plus que chez Marx et Freud.

DIONYSOS OU LE CRUCIFIE-RESSUSCITE.

Le monde actuel veut le salut en ce monde et non le salut du monde.


INDEX THÉMATIQUE
Abstraction lyrique/Allemagne/Anarchisme/Animal/Anticapitalisme/Antimilitarisme/Antimodernes/Antipsychiatrie/Antisémitisme/Antispécisme/Antithéâtre/Architecture/Armes/Art/Athéisme/Avant-Garde artistiques/
Beat generation/Beauté/
Capitalisme/Care/Catastrophisme/Changement climatique/Chine/Cinéma/Civilisation/Collapsologie/Colonialisme/Commerce/Communication/Communisme/Conquête spatiale/Conservatisme/Constitutions/Consumérisme/Contrat/Cosmologie/Crime contre l'humanité/Cubisme/Culture/
Dadaïsme/Décadence/Déclin/ Déclinisme/Décolonisation/Défense/Démocratie/Démographie/Dérèglement climatique/Désindustrialisation/ Désobéissance civile/ Développement durable/Dictature/Digitalisation/Divertissement/Domination masculine/Drogue/Droite-Gauche/Droits de l'animal/Droits de l'enfant/Droits de l'homme/
Écologie/Économie/Éducation/Effondrement/Égalité/Élitisme/Énergie/Environnement/Éros et thanatos/Érotisme/Esclavage/Esthétique/État /Ethnologie/ Europe/Extrémismes/
Famille/Famine/Fascisme/Féminisme/Finance/Fin du monde/Folie/France/Fraternité/Futurologie/
Gauchisme/Génocide/Genre/Géopolitique/Globalisation/Guérilla/Guerre/Guerre froide/ Guerre totale/
Histoire/Histoire mondiale/Hégémonie mondiale/
Identité/Immigration/Inconscient/Industrie/Inégalité/Informatique/Intelligence artificielle/Internet/Islamisme/Justice/
Laïcité/Libéralisme/Liberté/Liberté d'expression/Lois bio-éthiques/Loisir/Lumières/Lutte des classes/
Mai 68/Machine/Marché/Marxisme/Médecine/Médias/Métahistoire/Métapsychologie/Militarisme/Misère/Mobilité/Modernité/Mondialisation/Mort/Mort de Dieu/Multiculturalisme/
 Nation/ Nationalisme/Nazisme/Néolibéralisme/Nihilisme/Non-violence/Normalité/Normalisation/Nouveau roman/Nouvelle Vague/Numérique/Numérisation du monde/
Occident/Oligarchie/Orient/
Pacifisme/Paix/Parti/Pauvreté/Pédagogie/Personnalisme//Philosophie/Physique quantique/Politique/Pollution/Pop'art/Populisme/Pornographie/Post-modernité/Procréation assistée/Progrès/Propagande/Protectionnisme//Psychanalyse/ Psychiatrie/Psychothérapie/
Question sociale/
Racisme/Rationalisme/Réalisme/Réalisme socialiste/Réalité virtuelle/Réforme/Régionalisme/Relation humaine/Religion/Renaissance/République/Revenu universel/Révolte//Révolution/Révolutions esthétiques/Robotique/Russie/
Sacré/Santé/Science/Science-fiction/Sciences humaines/Sécularisation/Sécurité/Séparation du Temporel et du Spirituel/Sexualité/Shoah/Sixties/Socialisme/Subjectivité/Sujet/Surpopulation/Surréalisme/Syndicalisme
Technique/Temps modernes/Terrorisme/Théologie de la libération/Théologie de la mort de Dieu/ Totalitarismes/Tradition/Transdisciplinarité/Transhumanisme/ Transition écologique//Transition énergétique/Transmodernité/Transreligiosité/Travail/
Union européenne/Urbanisme/Utopie/
Violence/Virtuel/

INDEX NOMINAL
Adorno/Agamben/Agacinski/Ahrend/Althusser/Aragon/Aron/Artaud/Attali/Aurobindo/
Badiou/Bakounine/Barth/Barthes/Bataille/Baudelaire/Baudrlllard/Bauhaus/Beauvoir/Bellet/Benjamin/Berdiaev/Bergman/Bergson/Bernanos/Blanchot/Blom/Bloy/Boff/Böll/Luc Boltanski/Bourdieu/Dominique Bourg/Breton/Broch/Giordano Bruno/Buber/Butler/
Calasso/ Calvin/Camus/Canetti/Canguilhem/Castoriadis/Michel de Certeau/Chalamov/Chaplin/Char/Charbonneau/Chateaubriand/Châtelet/Che Guevara/Chesterton/Chestov/Chomsky/Bernard Chouraqui/Christen/Churchill/Clausewitz/Clavel/Cochet/Cohn-Bendit/Colomb/Comte/Condorcet/Condition animale/Constant/Copernic/
Danton/Debord/Debray/Decroly/De Gaulle/Deleuze/Derrida/Diamond/Didi-Huberman/Cyril Dion/Dolto/Dostoievski/Dubos/Duchamp/Duflo/Dupuy/Dutschke/
Saïd Edwards/Eisenstein/Einstein/Ellul/Engels/Europe/Evola/
Fanon/Finkelkraut/Flaubert/Foessel/Elisabeth de Fonteney/Foucault/Fourier/Freinet/Freud/Froidevaux-Metterie/
Galilée/Gandhi/Gauchet/Gide/Giono/Girard/Glucksmann/Godard/Goethe/Gorz/Gramsci/Grass/Gropius/Guardini/Guénon/Guillebaud/Gutenberg
Habermas/Harari/Hawking/Hegel/Heidegger/Hello/Hemingway/Héritier/Hitler/Hobbes/Hölderlin/Hugo/Hulot/Humboldt/Hus/Husserl /Huttington/
Illich/Isou/
Jaurès/Jean-Paul II/Jorion/Jouve/Joyce/Jullien/Jung/Jünger/Juranville/
Mehdi Belaj Kacem/Kafka/Kandinsky/Kant/Kazanzakis/Kepler/Keynes/Kierkegaard/Martin Luther King/Klee/Etienne Klein/Klimt/Klossowski/Kojève/Kraus/Kundera/Küng/
Lacan/Lanza del Vasto/Latour/DH Lawrence/Leary/Le Corbusier/Lefèbvre/Lefort/Leiris/Lénine/Lévinas/Lévi-Strauss/Benny Lévy/Bernard-Henri Lévy/Lincoln/Guillaume Logé/Lubac/Lupasco/Luther/Rosa Luxemburg/Lyotard/
Machiavel/Mac Luhan/Maïakowski/Joseph de Maistre/Malevitch/Malraux/Malthus/Mandela/Thomas Mann/Mao/Marcuse/Marion/Maritain/J.Clet Martin/ Marx/Mauriac/Menasse/Merleau-Ponty/Messiaen/Monnet/Montessori/Thomas More/Morin/Mounier/
Napoléon/Nassehi/Neill/Nietzsche/Nouveau Roman/Nouvelle Vague/Novalis/
Onfray/Oppenheimer/ Ortega Y Gasset/Orwell/
Parti/Pascal/Pasolini/Pasternak/Péguy/Pelluchon/ Personnalisme/Piaget/Picasso/Picq/Piketty/Popper/Porcher/Proudhon/
Rahbi/Rancière/Rawls/Reeves/Reich/Renan/Ricoeur/Rifkin/Rilke/Rimbaud/Robespierre/Rolland/Roosevelt//Rosanvallon/Rougemont/Rousseau/Russell/Saint-Exupéry/Saint-Just/Sartre/Schérer/Schiller/Schoenberg/Schweitzer.Segalen/Sibony/Simondon/Peter Singer/Sizek/Sloterdijk/Soljénitsyne/Sollers/Sorel/Spengler/Staline/Edith Stein/Barbara Stiegler/ Stiegler/
Tarkovski/Charles Taylor/Teilhard de Chardin/Thibon/Thoreau/Todorov/Tolstoï/Toqueville/Touraine/Trakl/Trigano/Trotzki/Tzara/Unamuno/
Vahanian/Valadier/Valéry/Vaneigem/Vasse/Vattimo/Vigée/Virilio/Visconti/Voltaire/
Waechter/Martin Walser/Washington/ Weber/Simone Weil/Weininger/Colin Wilson/Winnicott/Wittgenstein/Wittig/
Zemmour/Zizek/Zola// Zweig

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