1986
2.1. H chez
Philippe.
26.4.
Le jour de mes cinquante ans a lieu la catastrophe de Tchernobyl.
21.5. Dissimulation
des états d’humiliation. Peur de montrer ma faiblesse.
Sehr-Spätentwickler.
Lien profond
avec la famille.
L’ami
Maupassant : la petite Roque.
19.6. Analyse.
Sensualité
perverse polymorphe. Tout le corps érotique. Désir toujours présent et rêve
ascétique.
13.7. H et
JL chez les J. Nous les recherchons le soir. Mère d’A-M. Parle de Knut Hamsun (
anecdote tirée de LA FAIM).
23.7. Variations
de l’humeur. Aujourd’hui temps orageux : je suis mal dans ma peau.
Besoin de
continuité.
6-9.9. Je
n’aime que les êtres brûlant du feu de l’absolu.
Le
chemin : faim, croix, lumière.
13.9. H.
Sommeil souvent troublé. Dérangé par le bruit de la pluie.
L’art, non
comme divertissement, mais comme vision
plus intense de la vérité de l’existence.
2.10. Mort
de Père vers 18h.
6.10. Enterrement
de Père.
7.10. Mon
père a été enterré hier. Je suis à présent le plus vieux des K.
Mal dormi. Réveillé
au milieu de la nuit.
La mort
comme fait. On ne peut parler que du fait physique. Du reste, on
en a aucune
expérience.
Alors toutes
les hypothèses se valent, passage au néant, survie surnaturelle, etc.
La foi
chrétienne croit à la résurrection et à la vie éternelle comme vérité
révélée et
non comme spéculation philosophique.
S'il y a une
évidence incontestable, c'est celle du péché, du mal, de la
mort.
Vivre la
vérité de l'éphémère et de l'éternité.
Un chrétien
n'en sait pas plus sur le Mystère ultime, mais allant au-delà
des
phénomènes apparents, il s'ouvre à une Parole qui fait signe en direction d'une
Réalité Éternelle, Absolue.
La foi n'est
pas un savoir. C'est l'écoute d'une Parole qui révèle un Dieu
transcendant.
12.10. Cimetière.
Temps automnal.
9.11. Déjeuner
chez R.
Buhl. Retable.
Cimetière.
Vivre
incognito.
O schu kummt dr Tod im Schnee
met schlofriga Aïga.
Bol esch uma met dm Weh.
13.12. H :
départ pour Nuremberg.