1.1.15

LABYRINTHE DES JOURS Préhistoires (avant 1936)




                                                                        
                                                                                   JE EST UN AUTRE (RIMBAUD).

                                                      
SEUIL DU LABYRINTHE.


Explorer le labyrinthe des temps et des espaces, des êtres et des choses, où nos vies cherchent leur chemin au cœur du mystère de l’existence.

Labyrinthe des jours, des temps, des saisons, des vies entrelacées, de l’Histoire et des destins singuliers.

Voyage dans les incertitudes, les imprécisions, les trous de la mémoire, les intermittences du cœur, l’histoire des pensées selon les jours et les saisons.

Voyage dans le Dedans abyssal de la vie.

Témoigner de mon passage sur Terre. Dire le miracle de la vie la plus humble.
Tenter de saisir les traces d’une vie éphémère, ne cessant de s’effacer.

Véridicité. Souci du dire vrai. À vrai dire ascèse du « mi-dire » (Lacan), du dire toujours partiel, car dire le vrai est tâche infinie, tâche impossible.

« Grand brouillon » novalisien, sauver l’essentiel des écritures quotidiennes, sauver les pépites perdues dans le magma infini de mes notations.

Faire entendre la voix des muets, de ceux qui jamais ne diront leurs joies et leurs misères de vivants.

Écrire la gloire des moins-que-rien.

Écriture hétérobiographique et non seulement autobiographique.
Elle se développe en deux registres : une écriture mémorialiste en italique à réécrire à l’infini, une écriture diariste reprenant telles quelles les notes prises le long des jours et des années.
 *



Labyrinthe des jours, des temps, des saisons, des vies entrelacées, de l’Histoire et des destins singuliers.

Voyage dans les incertitudes, les imprécisions de la mémoire, les intermittences du cœur selon les jours et les saisons.

Témoigner de mon passage sur Terre. Dire le miracle de la vie la plus humble.

Faire entendre la voix des muets, de ceux qui jamais ne diront leurs joies et leurs misères de vivants.

Ecrire la gloire des moins-que-rien.


 
Ecriture hétérobiographique et non seulement autobiographique.
Elle se développe selon deux registres : une écriture mémorialiste en italique à réécrire à l’infini, une écriture diariste reprenant telles quelles les notes prises le long des jours et des années.
 


PRÉHISTOIRES
.
Ils viennent d’où, les ancêtres ?
De la nuit des temps.
De l’immense peuple des sans-voix.
Ils sortent de la nuit et y retournent. Éternel manège des vivants et des morts.

Famille K issue de Kaysersberg, la bourgade natale d’Albert Schweitzer.
Famille H : racines sundgauviennes.
Famille G : origines martiniquaises.


1901
Naissance du père G en Martinique.
1907
Naissance de maman Marie Polly D en Martinique.

1908
Naissance du père K à Mulhouse.

1914
20.3.
Naissance d’Anne H à Heimsbrunn.

1914-18
Père K parle de la Première Guerre mondiale à Mulhouse. On souffre de faim. Mère parle de l’évacuation de Heimsbrunn vers Mulhouse( ?).
Participation du grand-père Auguste K à la guerre ? Front russe ? Verdun ?

1914-1932
Mère. Enfance  à Heimsbrunn.

Petite-fille, elle traîne chez les « Ziginer »(les Tziganes), fumant avec eux.

Mort de la mère de la Mère, catastrophe primordiale de la vie de cette dernière, la marquant définitivement.

Plaintes contre la Stiafmüater, la seconde femme de son père .Celui-ci a liquidé le patrimoine de Heimsbrunn.

Nostalgie du Sundgau.

Très jeune femme belle, fluette sur les photos au temps de son mariage.

Le grand-père K l’appelle « Anna ».
Le Père l’appelle « Frài ». Il n’utilise jamais le prénom « Anne ».

1933
Naissance de MT.

Drames familiaux. Père opéré des yeux. MT ébouillantée. Elle en gardera toute sa vie des cicatrices sur sa poitrine. 

1934
Mariage du père Jules G et de Marie Polly




PREHISTOIRES


Ils viennent d’où, les ancêtres ?

Ils sortent de la nuit des temps, du silence des genèses.

De l’immense peuple des sans-voix.

Ils sortent de la nuit et y retournent. Éternel manège des vivants et des morts.
Ancêtres originaires d'Alsace, des Antilles.



Famille K issue de Kaysersberg, la bourgade natale d’Albert Schweitzer.
Du côté maternel, famille H : racines sundgauviennes.

Famille G : origines martiniquaises. 

Mythes familiaux. Du côté des H : sang juif? sang tzigane?




1901
Naissance du père Grette en Martinique.


1907
Naissance de maman Marie Polly Duno en Martinique.


1908
Naissance du père Knibiehly à Mulhouse.


1914
20.3.
Naissance d’Anne Hemeter à Heimsbrunn.


1914-18
Père K parle de la Première Guerre mondiale à Mulhouse. On souffre de faim. Mère parle de l’évacuation de Heimsbrunn vers Mulhouse( ?).

Participation du grand-père Auguste K à la guerre ? Front russe ? Verdun ?


1914-1932
Mère. Enfance  à Heimsbrunn.


Petite-fille, elle traîne chez les « Ziginer »(les Tziganes), fumant avec eux.


Mort de la mère de la Mère, catastrophe primordiale de la vie de cette dernière, la marquant définitivement.


Plaintes contre la Stiafmüater, la seconde femme de son père .Celui-ci a liquidé le patrimoine de Heimsbrunn.

Nostalgie du Sundgau.

Très jeune femme belle, fluette sur les photos au temps de son mariage.


Le grand-père K l’appelle « Anna ».

Le Père l’appelle « Fràï ». Il n’utilise jamais le prénom « Anne ».







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